Le club madrilène n’a pas recruté d’attaquant de classe mondiale pour pallier le départ de Benzema, mais à la surprise de tous, c’est Jude Bellingham qui se charge de le faire.
Il n’a que 20 ans, mais le Real Madrid est déjà dépendant de son rendement. Un fait qui est appuyé par les chiffres. Les hommes d'Ancelotti sont en tête de la Liga et de leur groupe en Ligue des champions en grande partie grâce aux buts du joueur anglais qui, en ce début de saison, est devenu la star de l'équipe.
Jude Bellingham a marqué 10 buts en 10 apparitions avec le Real Madrid cette saison. Ces buts ont permis au Real Madrid de ne perdre qu'un seul match, le derby contre l'Atlético de Madrid.
Les chiffres de l’ancien de Dortmund sont stratosphériques et pour illustrer cela, le statisticien du quotidien AS connu sur les réseaux sous le nom de "Misterchip" a détaillé la valeur ajoutée des buts de l'Anglais pour le Real Madrid.
Los 9 goles de Bellingham con el Real Madrid:
1 sirvió para igualar un partido.
6 sirvieron para deshacer un empate y, por tanto, darle ventaja a su equipo.
2 sirivieron para ampliar una ventaja (el 0-2 contra el Athletic y el 0-3 goles contra el Girona).Si elimináramos sus 9…
— MisterChip (Alexis) (@2010MisterChip) October 7, 2023
Les buts de Bellingham pour le Real Madrid :
▪︎ 1 a servi à égaliser dans un match.
▪︎ 6 ont servi à briser une égalité et donc à donner l'avantage à son équipe.
▪︎ 2 ont servi à creuser l'écart (le 0-2 contre l'Athletic et le 0-3 contre Girona).
"Sans tous ces buts, le Real Madrid aurait 4 points de moins en phase de groupe de la Ligue des Champions (de 6 à 2 points et de la première à la troisième place) et aurait 8 points de moins en Liga (de 24 à 16 points et de la première à la cinquième place)", a écrit Misterchip.
"Ce n'est pas seulement le nombre de buts qu'il marque, qui est presque abusif pour un milieu de terrain, c'est aussi l'énorme influence sur le tableau d'affichage de la quasi-totalité de ces buts qui est importante", ajoute l'analyste.
Des chiffres qui montrent clairement que si Bellingham n'avait pas connu un début de saison spectaculaire, la situation du Real Madrid serait très différente de ce qu'elle est aujourd'hui.