L’ancien entraîneur du Real Madrid et de la sélection espagnole a jugé la trajectoire de Carlo Ancelotti très positive.
Ce mardi, un acte de présentation s’est tenu à Madrid afin de mettre en lumière l’alliance conclue entre la compagnie énergétique Moeve qui sera prochainement partenaire avec LaLiga et la Liga F, nouveau nom donné au championnat d’Espagne féminin.
Pour l’occasion, plusieurs grands noms étaient présents tels que Beatriz Álvarez, présidente du championnat féminin, Javier Tebas, président de LaLiga, ou encore Vicente del Bosque, autrefois joueur et entraîneur du Real Madrid. Ce dernier a tenu à louer le parcours de Don Carlo au club.
Départ d’Ancelotti et arrivée de Xabi Alonso :
Un fait qui n’est pas encore officiel, mais qui semble se confirmer. On peut parler de plusieurs choses, d’abord de la trajectoire de Carlo Ancelotti, qui a été magnifique. Il a réalisé un parcours fantastique, qui va être compliqué à réaliser pour ceux qui viendront après lui.
Les dons d’entraîneur de Xavi Alonso se notaient quand il était joueur ?
Notre force était là, au milieu de terrain, entre lui et Busquets, qui étaient très critiqués, mais au final c’étaient des hommes forts pour nous.
Que doit faire un entraîneur pour triompher au Real ?
Mener un groupe et le présenter comme Carlo Ancelotti est en train de le faire et comme il l'a fait durant son étape.
En quoi Ancelotti est un exemple ?
En termes de connaissances du football, en plus de toujours avoir un vestiaire en bons termes, et je pense qu’il a bien géré ça.
Comment voyez-vous les relations du Real Madrid avec Ancelotti ?
Je n’ai pas d’avis là-dessus. Je pense qu’il est exemplaire dans toutes ses réponses.
Lamine Yamal serait titulaire dans une sélection championne du monde ?
Dans la sélection qui a gagné l’Euro, il a très bien joué. Il serait un joueur très important, je n’en doute pas, et il a tout juste 17 ans.
Au Brésil on critique le fait qu’Ancelotti n’ait jamais été à la tête d’une sélection :
Si on le recrute c’est parce qu’il mérite de faire partie de la sélection du Brésil. Après tout, une équipe nationale et un club ont des points communs.
Les différences entre entraîner un club et une sélection :
En temps normal, il y a plus de tensions avec les joueurs en club qu’en sélection. Mais il faut qu’un entraîneur soit crédible et le devienne pour ses joueurs, ce qui à mon sens permet de bien diriger un vestiaire."
