L'entraîneur Quique Setién a déploré la défaite face au Real Madrid (2-3) après une excellente première mi-temps de Villarreal. Il estime que ses joueurs auraient mérité de passer, mais reconnaît la réaction puissante de l’adversaire.
Défaite : "Nous les avons tellement surpassés en première mi-temps... mais le Real reste le Real et ils exigent le maximum de toi. Ce sont de bons joueurs et les fois où ils se sortent du pressing ils vous font mal. Nous n'avons pas pu maintenir notre niveau d'exigence et nous avons été condamnés par quelques balles perdues. Ce n'est pas facile de défendre face au Real Madrid pendant 90 minutes. Il ne faut jamais donner le Real pour vaincu, c'est clair."
Un choc émotionnel : "Personne n'aime perdre. Nous aurions pu passer cet éliminatoire parfaitement. Nous avons eu trois ou quatre occasions de prendre l'avantage devant le gardien, mais la vitesse de leurs défenseurs nous en a empêchés. Et nous étions également à découvert sur certaines positions. Le Real a fait bon usage de la deuxième mi-temps. Nous avons six joueurs blessés et aujourd'hui nous avons dû faire sortir deux autres joueurs du terrain. Parfois, vous ne pouvez pas courir plus vite que quelqu'un d'autre qui est plus rapide."
Echange avec Vinicius en plein match : "Rien, rien... On s'est dit des choses qui ne sont pas importantes."
🔴🎙 SETIÉN: "¿Mi conversación con Vinicius? Nada, nada. Cosas que no tienen importancia..." #CopaDelRey
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— El Chiringuito TV (@elchiringuitotv) January 19, 2023
Renforts en janvier : "Nous verrons si ces éventuels départs se confirment. En principe Jackson est toujours blessé et avec Danjuma nous devons attendre. Mais c'est un poste qui nous fait défaut, même s'il est vrai qu'il y a quelques jeunes de l'équipe réserve qui peuvent nous aider. On va voir ce qui va se passer."
Polémique sur l'arbitrage : "Ce n'est pas facile d'analyser toutes les actions depuis le banc de touche. Il y a des décisions pour lesquelles je comprends que l'arbitre puisse faire une erreur, comme le penalty non accordé, qui, vu du banc, ressemblait à une poussée claire. Mais personne ne peut changer cela."
