Avant ses débuts en Coupe du Monde, ce mercredi contre l'Allemagne à 14 heures, Take Kubo (21 ans) s'est entretenu avec Marca à Doha.
Comment abordez-vous votre première Coupe du Monde ?
Je suis plutôt calme. Nous avons regardé plusieurs matchs ensemble pendant le dîner et nous avons le sentiment que cela a déjà commencé. Bien que notre match ait lieu demain [aujourd'hui], je suis assez calme.
Où avez-vous reçu la convocation ?
J'étais à la maison et, comme il était six heures du matin, je dormais.
Avez-vous été réveillé par la nouvelles ?
Non, pas du tout. Quand je me suis réveillé, vers 7 h 30 ou 8 h, j'ai regardé mon téléphone portable et j'ai vu tous les messages.
Jusqu'où ce Japon, qui semble toujours manquer un peu de quelque chose, peut-il progresser ?
L'important est de se concentrer sur le premier match, sans regarder plus loin. Nous ne pouvons pas faire les calculs avant le premier match. Pour le moment, nous nous concentrons sur l'Allemagne.
Sont-ils plus effrayants que l'Espagne ?
En ce moment, plus l'Allemagne car c'est le plus proche et tout le monde sait que le prochain match est le plus important. Lorsque l'Allemagne sera terminée, en fonction du résultat, nous réfléchirons à la suite des événements.
Si vous avez vu le match Argentine-Arabie (1-2), pensez-vous que cela vous aide comme exemple ?
Oui. C'était un match très audacieux de l'Arabie Saoudite, avec une ligne très haute. Cela nous a fait penser que nous devons également prendre des risques pour pouvoir gagner contre des équipes aussi supérieures, même si dans notre cas, nous ne sommes pas aussi inférieurs que l'Arabie Saoudite l'est à l'Argentine. Mais il est vrai qu'il y a une petite différence, et nous devrons voir comment nous pouvons la compenser.
Vous avez des amis dans l'équipe nationale espagnole, leur avez-vous parlé ?
Oui, j’en ai, mais pour le moment je n'ai parlé à personne.
🏆 << Je vais à la Coupe du Monde grâce à la Real >> 💪
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— Real Sociedad 🇫🇷 (@RealSociedadFR) November 16, 2022
Qui aimez-vous le plus en Espagne ?
Je dirais Eric (Garcia) ou Ansu (Fati) parce que ce sont mes amis.
Vous les connaissez depuis l'académie des jeunes de Barcelone. Ça fait combien d'années ?
Je ne me souviens pas depuis combien de temps je les connais, mais Eric était déjà là quand je suis arrivé et Ansu je crois qu'il est arrivé un an plus tard.
Vous réalisez une belle saison à la Real Sociedad, vous voyez-vous revenir au Real Madrid ?
Pour l'instant, je suis un joueur de la Sociedad et je ne pense à rien d'autre. L'entraîneur s'occupe très bien de moi, mes coéquipiers aussi. Si je n’étais pas parti pour la Sociedad, j'avais le billet pour la Coupe du Monde à moitié perdu. Maintenant, j'ai la chance d'être appelé parmi les 26 et je remercie la famille Real Sociedad. Je ne pense à rien d'autre.
