L'entraîneur de Girona, Míchel, plus que satisfait du match nul de son équipe au Santiago Bernabéu, a loué l'effort mental de ses joueurs et n'a pas éludé les polémiques qui ont marqué le match.
Un point positif : "Nous avons fait un travail mental très difficile. Nous sommes mieux sortis en première mi-temps, ils nous ont plus maîtrisés en seconde. C'était très difficile. Au final, nous avons eu une très bonne récompense, avec le sentiment que l'équipe est bien compétitive."
Ils auraient pu prendre l'avantage avant la mi-temps : "le Real a son élan et ils sont inarrêtables. Nous savions que si nous ne marquions pas ces buts en première mi-temps, nous aurions de gros problèmes. Nous savions comment être à la hauteur. Nous avons pu couvrir Vinicius et Valverde. L'équipe a fait preuve d'une excellente mentalité. Nous sommes une équipe heureuse cette saison et nous savons comment être compétitifs, mais avec de mauvais résultats."
Le but de Rodrygo refusé : "Je pense qu’il y a but. Je l'ai dit après Almería. Mais la règle dit que c'est une faute. C'est ce qui nous est arrivé à Almeria. La règle est comme ça, mais elle devrait être révisée. La réalité est que si nous avons commis une faute là-bas, c'est une faute aujourd'hui."
Han anulado un gol a Rodrygo por esto. Increíble. pic.twitter.com/TljDavjaYj
— Madrid Sports (@MadridSports_) October 30, 2022
Le pénalty d’Asensio : "Pour le penalty en revanche, les joueurs me disent que c'est très clair. Nous savons comment sont les mains, si c'est une situation anormale, hors contexte… Ce sont des situations qui nous ont été bénéfiques."
Derniers instants du match : "Nous savions que ça allait être leur façon de faire, où le Real finit par gagner, mais nous n'avions rien à perdre. Le penalty est arrivé et après le penalty nous avons su souffrir. Les deux situations de blessure, tant de Yan que de Miguel, nous ont obligés à effectuer deux changements rapides. La possession était équilibrée, mais en deuxième mi-temps, ils nous ont maîtrisés. Nous devions essayer de respirer avec le ballon et c’était difficile à la fin."