Beaucoup de choses sortent dans les médias depuis
plusieurs jours et malgré l’inquiétude naissante chez certains
supporters du Real Madrid, tout semble sous
contrôle.
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Il est comme souvent bien difficile de démêler le vrai du faux lorsque toute la presse s’empare d'un sujet aussi médiatique que celui-ci. En effet, dans les faits, Sergio Ramos pourra discuter librement avec qui il veut à compter du 1er janvier prochain, date à partir de laquelle il ne lui restera que 6 mois de contrat si la situation restait telle quelle.
Pourtant, la situation semble bien sous le contrôle des dirigeants du Real Madrid, ce qui explique qu’ils ne se sont pas pressés d’ouvrir les négociations plus tôt, en tenant compte également de la crise liée au Covid. Pour Marca et AS, il n’y a aucun doute sur le fait que les deux parties veulent trouver un accord et qu’ils rêvent communément d’une fin de carrière à Madrid pour l’un des plus emblématiques capitaines de l’histoire.
Est-ce que cela empêche le clan de Ramos de faire pression sur le Real ? Il semblerait que non, comme à l’époque avec une supposée offre chinoise. Tout laisse en effet penser que l’entourage du défenseur madrilène a volontairement fait fuiter une rumeur liant le Paris Saint-Germain à Ramos. Un contrat de 3 ans accompagné d’un salaire de 20 millions d’euros...
Alors, à quelle issue s’attendre ?
Une chose est quasi certaine : Sergio Ramos n’aura pas le droit à une augmentation salariale. Le joueur de 34 ans perçoit environ 12 millions d’euros (net) par an et le board du Real n’est pas disposé à lui offrir plus, notamment à cause du Covid. Les temps ne sont pas propices aux augmentations, mais plutôt aux baisses.
En revanche, l’Espagnol devrait bénéficier d’un autre grand privilège pour un trentenaire de la Casa Blanca : une prolongation supérieure à une saison. Il est en effet bien connu que Florentino Perez avance année après année à ce stade de la carrière d’un joueur, mais il devrait céder face à un Sergio Ramos qui ne montre toujours aucun signe de déclin.
D’après Jose Luis Sanchez, le capitaine du Real pourrait même choisir (raisonnablement) la durée de son contrat s’il accepte de baisser son salaire. Alors a-t-on vraiment des raisons de [commencer à] s’inquiéter ? Pour le moment, aucune.