A l'occasion de l'anniversaire de la Décima, le héros de Lisbonne, Sergio Ramos, a accordé une petite interview aux médias du club.
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Le but de sa vie : "Après ce moment, j'ai dit à ma mère que désormais je pouvais mourir tranquille. C'est le meilleur, le but de ma carrière pour ce qu'il représente, pas seulement pour moi, mais aussi pour le football et pour notre club."
Ses pensées avant le corner : "Je suis très optimiste et jusqu'à la dernière seconde je pensais que c'était possible. Je rêvais que le ballon arrive parfaitement pour le reprendre et le mettre dedans. Dit et fait : un super ballon de mon frère Modric, qui l'a fait voler à l'endroit où il fallait. Ce ballon, je ne l'ai pas frappé avec la tête, mais avec mon âme."
La réaction de Casillas : "Il m'a dit : 'Mon frère, tu es le putain de chef, je t'aime'. J'ai une affection spéciale pour Iker, une relation qui dure depuis de nombreuses années, nous sommes de très bons amis."
Les mots du président avant la finale : "Ça a été un très beau geste de sa part de me faire autant confiance. Cela m'a fait me sentir un peu plus important, j'ai senti que je pouvais transmettre cette confiance au groupe, surtout dans les moments importants. Cette osmose s'est avérée payante au final."
Un rêve qui datait de toujours : "Je n'ai jamais arrêté de rêver et de travailler avec constance dans l'espoir de remporter la Ligue des Champions. Je n'ai jamais perdu l'espoir de la soulever. Les finales ne se jouent pas, elles se gagnent. Nous avons eu beaucoup de chance de jouer autant de finales de LDC, et nous les avons toutes gagnées. La célébration à la Cibeles, après autant d'années, fut une joie immense, un moment unique."