Le jouer de City, Rodri, s’est joint aux critiques de son entraîneur concernant la pelouse du Santiago Bernabéu, qu’ils trouvent en bien mauvais état pour un club de ce standing.
Depuis le début de la rénovation du stade madrilène, la pelouse a été changé à maintes reprises. Hier encore, pour la réception de City lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions, la séparation entre les lamelles rétractables étaient fortement visibles tandis que sur certaines zones, le gain apparaissait très abimé.
Ce que Rodrigo Hernández, le milieu de terrain espagnol de Manchester City, n’a pas manqué de relever après le match, à l’instar de son coach qui en a fait de même en zone mixte et en salle de presse.
"Ce n'était pas bon, pour la façon dont nous jouons, je pense que cela nous a un peu gêné. Nous ne cherchons pas d'excuses, mais la pelouse n’était pas bonne. Souvent, d'en haut, on ne voit pas la perspective, parfois on a l'impression que le terrain est en bon état mais quand on est sur le terrain, on se rend compte que ce n'est pas le cas", a déclaré Rodri.
🌿 RODRI 'RAJA' del BERNABÉU con @EduAguirre7:
🤨 "El césped se levantaba, no estaba uniforme". pic.twitter.com/PTUcqVCiR8
— El Chiringuito TV (@elchiringuitotv) April 9, 2024
"Le ballon rebondissait, le terrain n'était pas uniforme, pour ainsi dire. Mais ce n'est pas une excuse. Le Bernabeu a toujours été comme un tapis, ils ont toujours mis les meilleures conditions, en ce sens nous n'avons pas à nous plaindre", a déclaré l'ancien joueur de l'Atlético.
Les critiques de Guardiola
À la fin du match, l'entraîneur des Citizens a lui aussi critiqué l'état de la pelouse lorsqu'il a été interrogé sur Movistar au sujet de la décision de couvrir le stade : "Moi, j'aime voir le ciel, pour être honnête. Le stade a été impressionnant, mais maintenant ils n'ont plus qu'à s'occuper de la pelouse, ils n'ont plus qu'à arranger ça. Florentino Pérez n'a plus qu'à se préoccuper de rendre le terrain aussi bon qu'il l'a toujours été au Real Madrid".
Lors de la conférence de presse, Guardiola a de nouveau insisté sur ce point : "Que le président (Florentino Pérez) ne le prenne pas mal, c'est un stade impressionnant, un travail incroyable. Je n'ai pas marché sur la pelouse aujourd'hui, mais mes joueurs me l'ont dit. Mais il ne faut pas que les gens le prennent mal, parce que j'ai joué ici de nombreuses fois et c’était toujours comme une moquette. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, mais le stade est spectaculaire. Les vestiaires, tout..."
