Le Brésilien a accordé une interview à Goal. Il parle de la lutte pour le titre en Liga, de son transfert, et des soucis que rencontre Vinicius.
Rodrygo Goes s'est confié dans une interview accordée à Goal dans laquelle il raconte comment s'est déroulée sa signature au Real Madrid et dans laquelle il analyse la situation que vit Vinicius sur les terrains de LaLiga. Le joueur madrilène avoue qu'il en a assez que personne ne fasse rien.
Les options en Liga compte tenu de l’avance du Barça : "C'est toujours possible, il faut y croire jusqu'au bout. Lors de ma première saison, nous avions beaucoup de points de retard sur l'Atlético, puis nous sommes revenus. Nous allons essayer de gagner tous les matchs et voir ce qui se passe."
Ancelotti et la possibilité qu'il coache le Brésil : "Ma relation avec Ancelotti est très bonne. J'ai vu qu'on parlait du Brésil, mais ils l'ont démenti. S'il va en équipe nationale, je serais heureux, j'adorerais ça, même s'il n'y a jamais eu d'entraîneur étranger. Je ne sais pas ce qui va se passer."
Son premier but avec Madrid : "Le but le plus important pour moi. J'avais fait de très bons matchs, mais il me manquait le but et après celui-ci, les choses ont changé. J'ai commencé à faire des choses plus importantes. J'ai commencé à être plus décisif pour mon équipe, c'est ce qui me manquait."
Sa signature au Real Madrid : "C'est mon père qui m'a transmis la nouvelle... Je raconte toujours l'histoire des deux maillots, un du Barça et un de Madrid, et que je devais choisir. C'était facile pour moi de choisir, mais comme tout était déjà réglé avec le FC Barcelone, c'était une surprise car je ne m'attendais pas à ce que le Real Madrid se présente. Au début, j'ai eu peur, mais ensuite, ce fut l'un des moments les plus heureux de ma vie."
Le cas Vinicius : "Vinicius est très calme et toujours souriant. Sur ce sujet, cela nous dérange tous un peu. Nous sentons que nous ne pouvons pas faire grand chose, nous n'avons pas beaucoup d'impact. Nous parlons et rien ne change. J'essaie de ne plus en parler parce que rien ne change."