Le capitaine du Real Madrid, Sergio Ramos, était l'invité de l'émission de télévision "El Hormiguero 3.0" hier soir. Extraits.
Son âme de buteur : "Depuis tout petit je suis comme ça, j'aime monter en attaque, marquer et dédicacer le but à l'un de mes proches. Toutefois, les gens sont un peu injustes dans le foot, car ils ne retiennent que les buts. Moi j'ai la chance d'en marquer, mais les gens oublient parfois le travail défensif qui permet aussi de gagner."
Les Panenkas : "Depuis le départ de Cristiano c'est à moi d'assumer ce rôle et je le fais avec grand plaisir. La panenka est une façon de faire et de sentir, et je ne pense pas à offenser ou à humilier qui que ce soit. Si j'ai pu offenser un coéquipier en faisant cela, alors je m'en excuse."
Un mois décisif : "En Liga on va jouer le Barça qui est leader, on les affronte en Copa et nous avons aussi le derby en championnat face à l'Atletico qui est seulement deux points devant nous. La semaine d'après, il y aura la Ligue des Champions. Le meilleur arrive, et en tant que joueur, ça me plaît."
Le bon moment du Real : "C'est vrai que nous sommes dans un état de forme sensationnel. On va tout donner dans les trois compétitions."
Les clés pour être footballeur d’élite : "En général, je ne change rien, je fais toujours les mêmes choses. Je me couche toujours à la même heure par exemple. Il faut valoriser le dévouement, l’implication et les sacrifices. En plus de la pression à gérer, qui est énorme dans ce club, il y a les entraînements qui sont extrêmement importants. Le repos, l'alimentation... tout cela compte beaucoup pour évoluer au plus haut niveau."
Devenir entraîneur à l'avenir : "C'est quelque chose qui me plait bien, et que je n'écarte pas. Je suis à l'aise quand je m'adresse à mes coéquipiers, quand je conseille les gens. Le rôle de leader ou capitaine a quelque chose de similaire avec le métier d'entraîneur."