Vinicius Junior était prêt à ne pas jouer le match contre Valence et ce n'était pas à cause du mauvais comportement des supporters adverses.
Interrogé avant le match là-dessus, Carlo Ancelotti l'a assuré : à aucun moment il n'avait envisagé de ne pas convoquer Vinicius Junior à Mestalla à la suite des évènements en 2023 dans ce même stade. "Ce n'est que du football et ça doit être un grand match de football", avait-il rappelé.
Pour autant, on a appris ce jeudi soir par l'intermédiaire de Relevo qu'une crise a éclaté quelques heures avant le match entre Vincius Junior et le Real Madrid. Ça s'est passé deux jours avant le déplacement à Mestalla et en plein milieu d'une autre polémique par rapport au fait que Valence ait refusé que les caméras de Netflix entrent dans le stade pour alimenter le documentaire au sujet du joueur madrilène.
Une publication du Real en cause
Ce qui a provoqué la colère de Vinicius Junior, c'est une publication du Real Madrid sur ses réseaux sociaux, une publication passée inaperçue pour la très très grande majorité car elle a été rapidement supprimée par le service de communication du club. Le Brésilien n'a tellement pas apprécié qu'il a menacé de ne pas jouer contre Valence, selon Relevo.
Sur la photo publiée sur le compte Instagram du club, on aperçoit Vinicius Junior en train d'embrasser l'écusson du Real Madrid. Jusqu'ici, rien d'anormal sauf que le club a ajouté un "stickers" des deux DJs Israéliens "Vini Vici" où apparaît l'évolution d'un singe jusqu'à devenu un être humain, un DJ plus précisément. C'est précisément ça qui a fait sortir Vinicius de ses gonds.
D'après Relevo, Vinicius Junior a immédiatement demandé des explications au club et seul José Angel Sanchez, le directeur général du club, a pu éteindre l'incendie et ainsi éviter une grosse crise. Le bras droit de Florentino Perez est en effet parvenu à calmer le Brésilien puis l'a convaincu de jouer contre Valence.
En revanche, Vinicius Junior a demandé à ce que des mesures soient prises et JAS lui a assuré que des sanctions disciplinaires tomberont à l'encontre des responsables de la publication.