L'entraîneur basque est assurément le plus courtisé en Europe, lui qui réalise un début de saison historique avec le Bayer Leverkusen.
C'est une habitude en ce début de saison, mais le Bayer Leverkusen a gagné ce soir. L'équipe de Xabi Alonso, leader de la Bundesliga avec 35 points au compteur, n'a toujours pas été vaincue au cours de cet exercice. Le bilan est de 11 victoires et 2 nuls en championnat, 19 victoires et 2 nuls toutes compétitions confondues.
Naturellement, il est alors beaucoup question de son futur et de son contrat actuel avec le club allemand. De nombreuses spéculations font état d'une clause libératoire spéciale pour qu'il puisse rejoindre le Real, le Bayern ou Liverpool autour de 15 millions d'euros s'il le souhaite. Il y a peu, le CEO du club, Fernando Carro, avait indiqué que non au titre que "on ne va pas obliger quelqu'un qui ne veut pas rester à rester. On veut qu'il se sente heureux, si heureux avec nous qu'il veuille rester. C'est ça notre objectif", avait-il répondu à TalkSport.
Et ça tombe bien, ce mercredi soir, l'ancien madrilène a accordé un entretien à Jorge Valdano dans son programme "Universo Valdano" sur Movistar. L'interviewer lui a alors posé la fameuse question à 1 million d'euros...
Another win for Xabi Alonso and Bayer Leverkusen 📈 pic.twitter.com/BaJH57B73f
— GOAL (@goal) December 6, 2023
"Tu as un contrat jusqu'en 2026... Tu as une quelconque clause libératoire ? C'est une question que je dois te poser mais qui ne m'intéresse pas beaucoup" a demandé Valdano avec un sourire en coin.
Malheureusement, la réponse de Xabi Alonso va décevoir beaucoup de monde puisqu'il a botté en touche : "Ça, ce sont des choses du contrat. Pour l'instant, je suis très à l'aise ici", a déclaré le jeune coach du Bayer Leverkusen. "Je savais qu'ici était un bon endroit pour entraîner pour moi. L'Italie ou la France, je ne connais pas et du temps a coulé depuis mon passage à Liverpool. Ici, je connais. En Allemagne, il y a de jeunes entraîneurs, il n'y a pas de peur par rapport à l'entraîneur jeune", a-t-il conclu sur le thème.