L'entraîneur madrilène s'est rendu devant les médias avant le match retour en 8èmes de finale de la Coupe du Roi contre Numancia demain. Il a réitéré sa confiance en son effectif.
Match face à Numancia : "Nous voulons bien terminer cette éliminatoire. Le résultat aller a été de 0-3, nous voulons bien jouer, ne pas encaisser de but et passer au tour suivant."
Réunion avec les joueurs avant l'entraînement : "Je ne vais pas te dire ce qu'il s'est dit, c'est une discussion comme il y en a dans toutes les équipes. Vous pouvez dire ce que vous voulez, qu'il y a une crise ou autre, nous on cherche des solutions pour améliorer les choses. C'était une discussion comme une autre, rien de plus."
Plus de communication : "Je ne vais pas entrer dans les détails, mais nous, quand il y a des choses comme ça qui se passent, quand tout ne se passe pas comme on veut, nous avons du travail. Je pense que les joueurs pensent la même chose, on va travailler plus que jamais pour arranger les choses. Si j'organise une réunion c'est pour que quelque chose en sorte."
Acheter un attaquant : "Je n'ai besoin de personne et c'est tout. Que ce soit clair, je ne veux personne. On a un effectif, je crois en mon effectif. Il y a des moments dans une saison un peu plus compliqués et vous vous servez de ça. On a encore du temps. On verra ce qui se passera en fin de saison. Et si il doit y avoir du changement, il y en aura."
Bras de fer avec le club : " Je ne veux personne parce que je crois en mon effectif. Pourquoi je penserais le contraire après 2 ou 3 mois ? Je ne vais pas changer. Ça me gêne quand vous dites que je vais au bras de fer avec le président et le club. Ce n'est pas vrai. Je suis juste une personne de plus ici, personne n'est au-dessus du club. Je ne ferais jamais ça, ni au club, ni aux supporters, ni au président qui m'a installé ici. La seule chose que je vais faire c'est défendre jusqu'à la mort mon effectif. J'ai confiance en ce que je fais et je vais le faire jusqu'à la fin."
Mauvaise passe de certains joueurs : "Les gens pensent que je dois sortir certains joueurs de l'équipe. Je pense le contraire, si un joueur va mal je dois lui transmettre ma confiance, ce qui m'intéresse c'est l'unité. Je ne suis pas quelqu'un qui va jeter de la merde sur certains quand les choses ne vont pas bien, nous sommes tous dans le même bateau et personne ne va descendre du bateau. Je ne vais blâmer personne en particulier, c'est de la faute de tout le monde. On a fait deux années spectaculaires, c'est important de le rappeler aux gens qui l'oublient."
Les erreurs contre le Celta : "Surtout dans les sorties de balle, je l'ai dit après le match. On a reculé en deuxième mi-temps, on s'est désorganisé, mais bon, c'est pour ça que j'ai dit que c'était le travail qui allait nous faire sortir de cette situation. Et parler des choses, parce que je sais que chacun de nous peut donner plus."
Les critiques : "Il faut les accepter. Je savais que c'était un métier difficile, ça faisait 3 ans et demi que je me préparais chaque jour pour ça car je savais que ça allait arriver. Et surtout ici. Mais ça fait partie de mon travail. La vie est comme ça, mais personne ne va m'enlever l'envie de continuer à travailler durement."