Les deux joueurs se connaissent bien pour avoir coïncidé au Borussia Dortmund, et Bellingham aimerait reformer le duo à Madrid.
Erling Haaland aime l'Espagne (il a acheté une maison à Marbella, en plus de celle que ses parents possédaient dans la ville de Malaga) et a toujours apprécié le Real Madrid, où jouait l’une de ses idoles, Cristiano Ronaldo. Le Norvégien était même très heureux de la conquête de la 14e Champions par les Merengues, saluant souvent sur les réseaux les exploits et remontadas cette saison là.
Et si son admiration pour Madrid était déjà bien ancrée, elle est renforcée par son ami Jude Bellingham. Les deux hommes ont passé deux saisons ensemble au Borussia Dortmund, de 2020 à 2022. Les deux hommes ont noué une amitié qui dure encore aujourd'hui. À cette époque déjà, Halland était incroyable : 70 buts en 71 matchs au cours de ces deux saisons.
Bellingham, encore très jeune, avait lui marqué 10 buts en 90 matchs. L'année dernière, sans Haaland, il a explosé avant de venir à Madrid, inscrivant 14 buts, son record personnel jusqu'à son arrivée à Bernabéu (il en est a 18 en 26 matchs).
Ces derniers mois, comme le révèle AS, Jude a discuté avec Erling du Real et lui a dit que s'il décidait de signer à Madrid, il aurait "tout à fait raison". L’Anglais a raconté au Norvégien combien il est incroyable de jouer dans le nouveau Santiago Bernabéu et l’ambiance qui y règne.
Il lui a parlé des supporters madridistas et de leur pression lors des grands jours, même si Haaland a déjà pu observer cela l'année dernière en demi-finale de la Ligue des champions, n'ayant pas pu marquer de but grâce au marquage impressionnant de Rüdiger.
Bien sûr, Bellingham lui a aussi parlé de la grandeur de l'institution, des installations impressionnantes de Valdebebas, du professionnalisme des équipes de travail, de la magnifique cohabitation de l'effectif avec le staff dirigé par Ancelotti, du sérieux du club dans les paiements, de la qualité de vie dans la capitale… En clair, Jude fait tout pour convaincre le géant norvégien de le rejoindre, d'autant que l'équipe d'Ancelotti évolue sans 9 depuis le départ soudain de Benzema.