Zinedine Zidane et ses hommes ont conclu de la meilleure des manières une année 2016 inoubliable, en remportant le Mondial des Clubs au Japon. Le Français est revenu en conférence de presse sur cette exceptionnelle première année.
Son année : "2016 a été une tuerie. Pour tout le monde, pour les joueurs... C'était une année formidable et je suis heureux du travail bien fait. Ce que nous faisons s'améliore à chaque partie. Bien sûr, parfois nous souffrons et nous ne jouons comme nous le devrions, mais c'est normal. Ce qui est bien c'est que dans ce nous faisons, nous sommes très positifs. Nous savons qu'à tout moment nous pouvons faire mal à l'adversaire. Nous savons souffrir. Et comme nous sommes optimistes nous y arrivons. On a beaucoup de talent. J'ai une pensée pour ma famille car il sont toujours là pour me soutenir. Je remercie les joueurs parce que ce qu'ils font est phénoménal. Nous sommes tous dans le même bateau."
L'adversaire : "Un titre s'apprécie toujours. Nous savions que nous allions souffrir. Cela ne nous a pas surpris car nous étions au courant qu'ils pouvaient faire leur match. Ils ont couru, se sont battus, mais c'est le football. Nous sommes venus ici et nous avons remporté le trophée qui était important pour nous."
La baisse de régime il y a deux ans : "On ne sait pas ce qui s'est passé. Cela peut arriver à n'importe quel moment. La saison sera longue et difficile. Nous allons nous reposer un peu et ensuite nous allons travailler. Comme nous croyons en notre travail, nous ne devons rien changer."
Supporters : "Je sais qu'il y avait beaucoup de Madridistas qui étaient là pour soutenir le Real Madrid. Je les remercie tous."
Les joueurs japonais : "Si vous croyez en vous et que vous aimez travailler, il faut penser qu'un jour vous pouvez arriver à jouer dans un grand club. Pour moi c'était mon rêve d'atteindre un grand club comme le Real Madrid. Tout peut se réaliser."
La pression sur le banc : "Je n'ai plus de voix et intérieurement je suis fatigué car je n'ai pas bien dormi ces derniers jours. Mais ça m'est égal car nous avons réussi quelque chose de grand une fois. Mais l'usure et la pression, bien sûr que je les subis, et beaucoup."
Discours de Florentino Perez : "Le président était très heureux d'avoir remporté un autre titre."