Avant le match de la Belgique contre la Russie, samedi à 18 heures, Thibaut Courtois s'est présenté en conférence de presse aujourd'hui.
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Les critiques dans la presse : "Je ne lis pas la presse. Je fais attention à ce que disent mon entraîneur, mes équipiers et ceux qui savent ce que c'est que d'être gardien. Si on n'a pas été gardien, on ne peut pas savoir comment ça se passe réellement. Les critiques, c'était surtout après le 3-0 contre le PSG et le 2-2 contre Bruges, où j'encaisse deux buts bizarres et où j'ai dû sortir à la pause car j'étais malade. Je suis resté calme car face au Celta, contre Séville ou même contre l’Atlético, j’ai fait de bons arrêts. Idem dans d’autres matchs. Moi j'étais tranquille, les entraînements étaient bons. Je sentais que j'étais fort."
L'un des meilleurs gardiens du monde : "C'est aussi pour ça que je suis critiqué : si tu n'es pas dans les meilleurs et que tu encaisses, on ne va rien dire, on va penser que c'est normal. Si tu fais partie des meilleurs, on pense que tu vas tout arrêter et on va te critiquer quand tu prends des buts."
La série d'invincibilité : "Ça fait du bien de garder de nouveau ses cages inviolées mais au final, c'est le travail de onze joueurs, pas seulement du gardien. Nous attaquons à onze et nous défendons à onze."
La presse espagnole : "C'est vrai que la presse là-bas [espagnole] est plus exigeante. Là-bas, on parle beaucoup du Real Madrid, il y a 10 pages sur le club tous les jours dans les journaux."