Mauro Icardi a été pendant un temps dans le viseur du Real Madrid, mais il semblerait que sur cette affaire, le club madrilène ait bien senti le coup...
Le Real Madrid a cherché pendant des années un deuxième attaquant pour seconder, voire concurrencer Karim Benzema à la pointe de son attaque. Il le cherche toujours d'ailleurs... mais le vide laissé par Cristiano Ronaldo après 2018 a poussé le club merengue a étudier les pistes pour un grand buteur européen. Les dirigeants madrilènes ont finalement opté pour Mariano Diaz et Luka Jovic avec le succès qu'on leur connaît.
Il n'empêche que le Real aurait pu faire un plus mauvais choix encore, en la personne de Mauro Icardi. Dans son édition du jour, Marca rappelle effectivement que l'Argentin faisait partie de la short-list de la maison blanche pour renforcer son attaque et assurer un certain nombre de buts chaque saison. A été époque, Icardi sortait de deux saisons à 26 et 29 buts avec l'Inter entre 2016 et 2018...
Le Real a senti le coup
Pour compenser le départ de CR7, le Real Madrid a alors étudié un possible recrutement d'Icardi à l'été 2018 en sachant qu'il voulait quitter l'Inter de Milan et qu'il était dans la meilleure forme de sa carrière. Sauf que l'Argentin a finalement rejoint le PSG en prêt en janvier 2019 avant d'être définitivement racheté l'été suivant contre la somme de 50 millions d'euros, une bagatelle pour le club qatari.
D'après Marca, rien n'a jamais été au-delà de la simple étude de dossier à Madrid concernant Mauro Icardi et pour cause, les dirigeants ont jugé que son entourage était trop "toxique" et plus particulièrement sa femme, qui est également son agent. Wanda Nara, une femme omniprésente, envahissante et très exposée médiatiquement (elle et son couple) comme on peut s'en rendre compte depuis quelques jours en France...
"On ne peut pas recruter ce joueur et ce n'est pas de sa faute", aurait-on déploré dans les bureaux du Santiago Bernabéu, une opinion en partie fondée sur cette vidéo de Wanda Nara critiquant alors les coéquipiers et entraîneur de son propre mari à l'Inter de Milan. À l'époque, elle était invitée toutes les semaines sur les plateaux de télévision en Italie, et le Real a très vite réalisé que composer avec cette personne ne mènerait qu'à l'échec.