La saison du Real était déjà finie quand il restait encore 2 matchs au Barça, mais on ne va pas se laisser abattre. Tournons-nous vers l’avenir en cette intersaison. Ancelotti out, Benitez reprend le flambeau avec le temps de se tourner vers la prochaine écheance. Va-t-on marcher sur le Barça à nouveau l’an prochain ? Notre partenaire bookmaker.fr nous l’assure : Voici les 3 raisons de croire à de jours meilleurs.
Une grande équipe ne reste jamais dans l’ombre trop longtemps
Si la saison qui vient de s’achever a un goût d'inachevé, la victoire en Ligue des Champions 2014 a offert une Coupe du monde des clubs en décembre. Malgré tout, Ancelotti a fait les frais d’un exercice “sans titre”. Cruel football. Le problème c’est bien évidemment l’héritage de l’époque Mourinho et trois saisons sans Liga, soit au moins une de trop pour une institution comme le Real Madrid. Et plus de 3 saisons ? Ce n’est pas arrivé depuis les années 1990 et le règne du Barça allant de 1991 à 1994.
Benitez, pompier de service ?
Faire venir Benitez sur le banc est un signe fort, celui du pragmatisme. Etonnant de la part d’un club qui a viré Capello à deux reprises après une victoire en Liga ? Sans doute, mais pour faire le dos rond, rien ne vaut un coach espagnol qui connaît la fibre de la Liga et notre club pour avoir entraîné la Castilla.
En plus de pouvoir continuer à mettre de l’ordre et du calme dans cette période post-Mourinho, Benitez est surtout double champion d’Espagne 2002 et 2004, avec Valence. En 70 ans, seuls la Real Sociedad et Bilbao, avec deux doublés dans les années 80, ont réussi une telle prouesse face à l’hégémonie du Barça et du Real.
Un palmarès de coach aussi varié que riche
Coach de Liverpool lors de la victoire épique en Ligue des Champions en 2005 face au Milan AC, Benitez débarque dans la capitale espagnole 10 ans après. Et le Real ne visera pas de record de points ou de buts marqués la saison prochaine. Ses joueurs devront surtout ne jamais rien lâcher pour prouver qu’ils méritent la première place. Déstabilisés juste ce qu’il faut par ce choc psychologique, deux trois recrues de choix... et puisque pas de Supercoupe à jouer, le temps de se préparer dans de bonnes conditions d’ici septembre. Dans la confiance et la sérénité, la mayonnaise peut largement prendre.
A Chelsea, en 2013, Benitez récupère le club londonien bien trop loin au classement pour gagner la Premier League ? Qu’à cela ne tienne, l’Europa League est à prendre ! Et il leur a fait gagner. Et si Naples n’était pas en finale cette année (demies de Coupe d’Italie comme d’Europa Ligue), la Supercoupe a tout de même été raflée à la Juve. Les Napolitains sont les seuls à avoir fait tomber la Vieille Dame sur la route d’un trophée national cette saison. Cette saison, Benitez a réellement l’occasion de confirmer qu’il a cette culture de la gagne dans la peau. Et ça tombe bien, le Real n’a plus le choix !
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