Le joueur du Real Madrid a accordé une nouvelle interview cette semaine dans laquelle il a des mots qui ne plairont pas à tous ses supporters.
À l'occasion d'un entretien accordé à GQ Hype, le joueur du Real Madrid a évoqué l'actualité de son club, c'est-à-dire la finale de Ligue des Champions à venir mais aussi les tours précédents ou encore la prise de retraite de Toni Kroos.
Sa rencontre avec Zidane : "Quand je suis entré dans le vestiaire du Real pour la première fois, je pensais que j'allais rencontrer les joueurs, mais non. La première personne que j'ai vu, c'était Zidane et ça m'a fait un grand choc. Je me souviens que je tremblais un peu au moment de le saluer."
La retraite de Kroos : "Nous sommes tous très tristes dans le vestiaire. Tristes parce qu'il va quitter le football et on ne le verra plus jamais jouer. C'est une triste nouvelle mais aussi une joie d'avoir pu profiter de lui. Et plus encore pour moi parce que j'ai joué avec lui et on a gagné une LDC ensemble."
Les vétérans : "Nos coéquipiers vétérans sont fous. Nacho, Modric, Carvajal... Ça fait des années qu'ils sont là et ils veulent gagner comme au premier jour. Nous avons la sensation qu'ils nous passent le flambeau. On le ressent et ils nous le disent aussi. Je pense que nous sommes en train de bien nous préparer pour prendre le relai et en même temps on fait déjà partie de cette légende. Le Real est un club légendaire et je crois que le moment d'assumer notre rôle arrive."
Manchester City : "En étant sincère, on savait qu'ils étaient meilleurs. Pour moi, c'est la meilleure équipe du monde, celle qui joue le meilleur football. Je pense donc que l'adversaire le plus difficile n'est plus là mais ça ne veut pas dire que ça va être facile de gagner maintenant. On l'a vu avec le Bayern et ce sera aussi très dur contre Dortmund."
La finale : "On dit que le Real ne perd jamais de finales et j'espère que ça continuera, j'ai toujours vu le Real gagner les finales. Pour moi, c'est toujours 50-50. Bien sûr qu'on va mettre le Real toujours favori mais pour moi, ça reste du 50-50."