Les légendes et anciens
joueurs du Real Madrid CF vivent aujourd’hui des jours heureux,
même loin des terrains. C’est le cas de Thomas Gravesen et ses
100M€ remportés au casino.
Que sont devenues les légendes du
Real Madrid ?
Pour un joueur de football, il est toujours plus facile de présumer quand sa carrière va débuter et décoller, que de se décider à quitter les terrains, pour s’extasier dans un tout autre domaine que les couloirs du stade de Bernabéu, et de fouler la pelouse avec ses crampons signatures. Mais quand sonne l'heure de la retraite, que faire ? Vers quoi se tourner ? Il est vrai que lorsque l’on a tout connu, et surtout réalisé en grande partie ses rêves d’enfance, il y a d’autres hobbys, plus secondaires certes, qui tendent à revenir en mémoire de certaines légendes du Real Madrid CF, comme de tout autres joueurs de football. Avec des gloires fortunes, des personnalités divergentes, et une tendance à se tourner vers le monde des paris et des casinos, du mannequinat ou encore moins pailleté, des actions humanitaires, chacun tend à employer sa notoriété et ses talents cachés dans d’autres domaines que le seul football.
Une retraite bien méritée
Pour beaucoup des joueurs que nous connaissons, et certains que nous citerons, cette retraite loin des terrains est hors de tout mérite. À l’image des Luis Figo, Raùl, Ronaldo, Zinédine Zidane, ou bien avant encore, les Di Stéfano et Kopa, pour tous ces joueurs et anciennes gloires du Real Madrid CF, la retraite a surtout été un moment difficile à vivre, une décision compliquée, mais néanmoins mûrement réfléchie. Car quitter les terrains, la grandeur des stades, les plus folles compétitions de clubs et de sélections, la ferveur en dehors des terrains, mais aussi une atmosphère particulière au sein même du vestiaire, pour un jour, se retrouver chez soi, et dans les tribunes ou devant sa télévision, pour regarder jouer les copains, une grande frustration est reconnue de tous les joueurs retraités. C’est alors qu’il faut apprendre à s’occuper d’une autre manière, en profitant en somme de sa famille, et de ses proches, que l’on retrouve, que beaucoup ont perdu avec les inlassables déplacements qui font qu’un joueur de football n’a plus de temps pour lui.
Mais pour tous ces joueurs cités, les occupations mêmes les plus folles sont largement promises et acquises, avec pour beaucoup, des émoluments d’ampleur et relatifs à leur grande carrière. Parmi les retraités les plus riches, David Beckham arrive très loin en tête, avec plus de 215M€ d’euros, une fortune estimée, et qui devrait encore s’accroître, vu les nombreux contrats publicitaires et de mannequinats qu’il signe encore aujourd’hui. L’ex-international des Three Lions devance et de très loin un ancien des Merengues, en la personne de Kakà, avec cette fois un peu plus de 100M€ selon les dernières estimations de sa fortune. Pour point de comparaison, un joueur français de football professionnel, ayant réalisé en grande partie sa carrière en Ligue 1 Conforama, est promis à une jolie retraite de près de 6M€. Une jolie somme, qu’il ne faudrait pas tout de même pas flamber dans les casinos ou sites de paris pour les fans de sports, même si pour certains, la tentation est grande. Ce sera très justement notre portrait du jour avec Thomas Gravesen.
Anciennes gloires du Real Madrid : Sur ou en dehors des terrains
Avant d’en revenir sur le cas de l’international danois Thomas Gravesen, qui n’a porté qu’une saison et demie le maillot du Real Madrid CF, nous souhaitions vous présenter quelques-unes des anciennes gloires des Merengues, et ce qu’ils font tout particulièrement de leur temps, de leur argent, et tout simplement pour continuer le cours de leur vie, loin des terrains de football.
Car si Thomas Gravesen est d’ores et déjà un roi parmi les rois à Las Vegas, Raúl est sans aucun doute un dieu pour tous les fans de ce club aux 13 Ligues Des Champions. Et l’Espagnol a très largement contribué aux succès de son écurie, et n’ayant jamais aimé un autre maillot que celui des Los Blancos. Mais loin de vouloir faire de son image, une marque, comme David Beckham le fait si bien, il préfère s’entretenir, loin des terrains, mais toujours avec le même panache. Sa dernière apparition publique fût lors du marathon de Barcelone, où il a parcouru plus de 20km, deux fois plus que lors de n’importe quel Clasico qu’il a disputé en Catalogne.
Du côté de Kaka, s’il continue de suivre avec assiduité, et un regard parfois critique, les prestations récentes des Merengues, il n’en est pas pour autant devenu un consultant, comme d’autres avant lui, à l’image de Fabio Cannavaro ou encore Zinédine Zidane, ce dernier n’étant jamais resté très loin de la Maison-Blanche. Pour l’ex-international brésilien, sa notoriété et sa fortune, il a surtout souhaité les placer dans des actions qui sont chères à son coeur. Il a ainsi pris ses nouvelles fonctions aux Nations Unies, en tant qu’ambassadeur de la banque mondiale alimentaire, et tentant de sauver des hommes, des femmes et des enfants, par-delà le monde, du plus grand mal qu’abrite notre Terre, la famine. Sa générosité allant de pair avec sa foi non dissimulée envers le christianisme, il est un saint parmi les saints vivant en ce bas monde.
Pour beaucoup de joueurs, du Real Madrid CF comme de tous horizons, il est difficile de tirer un trait définitif sur l’engouement autour du football et du terrain, comme les parieurs sportifs peuvent ressentir ce frisson via les casinos en ligne et sites de bookmakers. Ainsi, et nous le remarquons de plus en plus, une ancienne gloire du ballon rond aura davantage tendance à s’illustrer également sur le bord du terrain, aux fonctions d’entraîneur, de directeur sportif, voire même de dirigeant de club. Ce fût le cas notamment d’Alfredo Di Stéfano, ayant connu tous les succès, et ayant battu tous les records, sous le maillot des Merengues. En poste d’entraîneur, en revanche, son parcours sera beaucoup plus mitigé. C’est alors qu’il s'illustre bien plus dans le cinéma, et y fera sensation notamment dans le film La Batalla Del Domingo, en incarnant son propre rôle, sur le terrain et dans l’arène de Bernabéu, mais également en dehors, immergeant un peu plus les spectateurs au plus près de leur idole, en bon père de famille qu’il a toujours été. D’autres succès sur grand écran sont également à retrouver avec la légende Alfredo Di Stéfano : Blond Arrow, Eleven Pairs Of Boots et Con Los Mismos Colores.
Notre focus : Thomas Gravesen
Dans le football, beaucoup diraient que le talent va de pair avec un brin de réussite, et qu’une grande carrière sera toujours couronnée de trophées, de records et de moments forts. Pour Thomas Gravesen, l’histoire au Real Madrid CF s’est écrite en 2005. Mais sa légende a surtout plus de poids dans l’univers des paris et des casinos, non sur internet et en ligne, mais bien dans la Sin City, au coeur des États-Unis, à Las Vegas. Sans doute l’une des reconversions les plus réussies de l’Histoire du football.
Du Bernabéu …
Comment qualifier le passage quelque peu anecdotique, mais fort en grands moments inattendus, de l’ex-international danois et ancien Merengue, Thomas Gravesen. Ce colosse tout droit arrivé d’Everton, connu pour jouer avant tout l’homme que le ballon, il a su faire sensation, le Real Madrid CF manquant cruellement de mordant en cette mi-saison de 2005. C’est alors que le choix de Thomas Gravesen s’est avéré être l’une des plus discutées au sein même des rangs des Los Blancos, au milieu de stars emblématiques et véritables légendes vivantes telles que Zinédine Zidane, David Beckham, Raúl, Ronaldo, Cannavaro et consorts. Un ovni en somme que Thomas Gravesen devient parmi le onze type de l’entraîneur de l’époque, Vanderlei Luxembourgo, le troisième en poste depuis le début de l’été 2014. Un Real Madrid CF à cette époque qui ne gagne plus, qui attire les foudres de ses plus fidèles supporteurs, et un joueur qui est là pour reconsolider le milieu de terrain : Thomas Gravesen. Son allure de pitbull enragé sur le terrain aura tendance à plaire, et il sera notamment comparé à Shrek, pas sûr que ce surnom lui ai vraiment plu un jour. Personne n’a pu témoigner de l’avoir appelé ainsi en face à face. Mais ce qui restera également dans les mémoires, c’est le dribble unique en son genre que mettra au point Thomas Gravesen lors de sa dernière saison chez les Merengues, en 2005-2006. Un match d’anthologie face au FC Séville. L’international inventera ainsi la Gravesinha, une feinte de tacle appuyé sur le ballon, pour finalement se remettre debout après avoir laissé traîner le genou sur la pelouse, et de repartir de l’autre côté, avec le ballon dans les pieds. Très souvent, la passe qui suivait été ratée, comme on vous le disait, il n’a jamais été très ami avec le ballon, plutôt avec ses adversaires, qui n’avaient pas le temps de s’ennuyer avec un Gravesen sur le dos.
… À Las Vegas
Ce petit coup de patte signé Gravesinha par le grand Thomas, venu du Danemark, est en quelque sorte un coup de bluff, qu’il étoffera un peu plus en pariant sur les casinos physiques, et qui sait, peut-être même sur les casinos en ligne, sous ce pseudonyme que seul lui pouvait arborer fièrement. C’est à l’âge véridique de 32 ans qu’il prendra la direction de Las Vegas, avec son épouse, Kira “Fiona“ Eggers. Par différents placements boursiers, immobiliers, et en entreprises, il dégagera des bénéfices nets de l’ordre de plus de 300 000€ par an, en complément de ses émoluments dignement et fièrement acquis pour toutes ses années de service sur les terrains de football. Et loin d’être un antisocial, c’est dans le milieu du poker que se tourne Thomas Gravesen, ainsi que de la roulette, du blackjack. Il ne touche plus aux machines à sous depuis qu’il s’est fait attraper les cassant une à une, et touchant le jackpot à chaque coup de crampons. C’est davantage dans le contact physique avec ses adversaires que se complait désormais l’ex-joueur du Real, et sa fortune serait désormais estimée à plusieurs centaines de millions d’euros. Il se confronte aux plus grandes stars du poker, et fait bonne figure lors des tournois des World Series Of Poker. Ses coups de bluff, ainsi que sa hargne d’en découdre à chaque main, ont fait de lui l’une des stars les plus riches du ballon rond, et de Las Vegas. Il partage désormais sa vie avec Kamilla “Donkey“ Persse, une jeune mannequin d’origine tchèque, qui profite pleinement du soleil et de la vie rêvée dans le Nevada, à la Sin City, où le péché n’a jamais été un secret pour Thomas Gravesen.