Avant d’affronter Manchester City au Bernabéu (mercredi, 21h), l’entraîneur du Real Madrid, Xabi Alonso, s’est présenté en conférence de presse.
À quel match vous attendez-vous ?
C'est un grand jour, pour continuer à progresser. L'ambiance sera celle d'une soirée de Ligue des champions. Les supporters savent quel type de match nous attend.
Comment renverser la situation ?
Nous sommes prêts à affronter ce qui nous attend. Tout le monde est convaincu que nous pouvons gagner demain. Nous devons jouer avec un bon rythme, de l'intensité. Ça ne fait aucun doute.
Comment expliquez-vous que le meilleur et le pire match de la saison se soient succédés ?
Après le match contre le Celta, comme toujours, nous avons tiré nos conclusions. Nous n'avons en tête que City et la Ligue des champions. L'ambiance sera différente.
Vous sentez-vous seul ?
C'est une équipe, nous sommes tous unis. Quand on est entraîneur du Real Madrid, on est prêt. Je suis impatient de voir ce qui va se passer, et ça commence par demain. Pour inverser la tendance, ce qui est normal. Nous n'avons en tête que City. Dans le football, pour le meilleur et pour le pire, les choses peuvent changer rapidement.
On parle déjà de noms pour le banc...
Quand on entraîne le Real Madrid, on est prêt à affronter toutes sortes de situations.
🗣️ Xabi Alonso: "Me siento con GANAS de todo lo que viene, sabemos que esto se puede revertir del enfado que hay a la ilusión que se va generando pensando en el City, esto puede cambiar rápido." pic.twitter.com/PeUPQMQ9tZ
— (fan) REAL MADRID FANS 🤍 (@AdriRM33) December 9, 2025
Quel message envoyez-vous aux fans ?
Le processus est parallèle, comme le nôtre. Je suis sûr qu'ils vont se réjouir au fil du temps, comme nous.
Arrivez-vous à faire abstraction des rumeurs ?
Je me concentre sur le terrain. C'est ce que je peux contrôler, le match de demain.
Est-il difficile d'entraîner un club comme le Real Madrid ?
Il ne s'agit pas de changer, mais de s'adapter. Je connais très bien le Real Madrid. Il faut s'adapter et apprendre. Il y a de bons jours, d'autres moins bons. Mais nous progressons à chaque match. Nous devons faire face à cette situation pour la renverser.
Comment abordez-vous le fait que demain, ce soit également le City de Guardiola ?
Le prochain est le meilleur. Il faut l'affronter. C'est un défi.
Liverpool a écarté Salah. Cela vous interpelle-t-il ? Le "cas Vinicius" aurait-il dû être géré différemment ?
Non, ce sont des choses qui se gèrent comme ça là-bas. Je n’ai pas envie de commenter ça.
Vous sentez-vous soutenu par l'ensemble du groupe ?
Oui.
On parle beaucoup de vous sur le banc de Liverpool à l'avenir...
Pour le moment, ma place est ici. C'est ici que je veux être.
Comment voyez-vous City ?
C'est l'équipe de Pep, elle a évolué. Elle compte de nouveaux joueurs et des éléments moins reconnaissables par rapport aux dernières années. Ce sera un grand rival.
Après le Celta, avez-vous reçu le soutien de la direction ?
La communication est constante, nous sommes tous ensemble dans cette aventure.
L'équipe s'est effondrée après avoir battu le Barça. Aujourd'hui, tairiez-vous sortir Vinicius à nouveau ?
C'était une décision prise sur le moment. Si j’estime que c'est la bonne décision à prendre, je n’hésite pas.
Après avoir remporté seulement deux des sept derniers matchs, êtes-vous déçu par les joueurs ?
Nous sommes tous dans le même bateau. Sans faille. Avec la conviction que c'est une opportunité. Il faut avoir l'énergie nécessaire pour créer un lien avec le Bernabéu. Si cela se produit, nous avons une chance de gagner.








