Sergio Ramos est passé au micro de beIN Sports après la victoire du Real Madrid face à Valladolid (2-0) samedi au Bernabéu.
Patience : "Quand les choses ne fonctionnent pas, c’est là qu'il faut rester calme, insister sur les efforts, le sacrifice... L’équipe y a cru contre un rival qui joue très bien au football, leurs bons résultats ne sont pas une coïncidence. L'important c'est la mauvaise passe que nous avons traversée."
Crise : "Nous comprenons parfaitement ce que les supporters ressentent. Ce sont nous, les joueurs, les responsables, et c'est nous qui avons l'opportunité de changer ça. Après le premier but, il a semblé que le Bernabéu se levait de nouveau, il nous a transmis l'envie dont nous avions besoin. Nous voulons vraiment continuer à travailler, pour que les résultats reviennent et que les buts entrent."
Esprit : "Quand ça n'entre pas, il faut rester calme, éviter ce doute qui s'installe. C'est dans nos gènes qu'on doit puiser, cette fierté, cette activité que nous montrons depuis toujours. Enfin un résultat positif pour prendre de la confiance."
Solari : "Nous sommes à mort avec l'entraîneur qui est là. Maintenant nous avons Solari et nous allons aller aussi loin que nous le pouvons, petit à petit, match après match, pour que nous puissions oublier la mauvaise période par laquelle nous sommes passés."
Sifflé : "Honnêtement, je n'ai pas remarqué, mais il est vrai que ceux qui sont ici depuis plus de temps doivent assumer ce rôle, je comprends le sentiment des supporters, je suis le capitaine et le premier qui doit faire un pas en avant. Je suis fier qu'on me mette du poids sur les épaules."
Célébration du pénalty : "De la fierté et de la dignité. Cela fait de nombreuses années que nous sommes ici. L’opinion... on ne peut jamais plaire à tout le monde. J’ai voulu dédier ce but à mon frère, qui était malade et au lit. La fierté que je porte en moi est celle qui m’a permis d'arriver là où je suis et de gagner tout ce que j'ai gagné."