Dans le cadre de son rôle d'ambassadeur de la marque BOSS, l'Allemand Toni Kroos a livré une interview au magazine Esquire.
Transfert au Real : "C’était un grand pas, j’avais 24 ans et ça a été dur de quitter mon pays, mais je me sens très bien ici, ma femme adore, et vous savez, c’est la chose la plus importante pour un homme, les enfants sont ravi. J'ai de la réussite, il fait beau, et vous savez, le jambon est bien meilleur ici."
Toujours les mêmes crampons : "Peut-être que c'est un problème psychologique, je ne sais pas, mais j'en ai besoin. Aujourd'hui c'est un grand défi pour moi de porter des chaussures noires !"
Sa fondation pour aider les enfants malades : "J'ai de la chance, j'ai une famille, nous sommes tous en bonne santé, je fais ce que j'aime comme métier... je sens que je dois redonner quelque chose à la société. Quand on voit le visage des enfants et de leurs familles, on s'aperçoit qu'on fait bien les choses et c'est quelque chose qui m'émeut."
Un autre métier qu'il aurait aimé faire : "Je ne sais pas, je n'ai pas vraiment eu le temps d'y penser. Quand j'avais 16 ans, alors que les autres enfants se demandaient ce qu'ils allaient faire plus tard, moi j'étais déjà footballeur. J'ai commencé à m'entraîner avec le Bayern à cet âge, et à jouer en équipe première à 17 ans... Ce fut simple de choisir un métier."
Suivre les traces de Zidane ou de Solari : "Je n'aimerais pas devenir entraîneur. Je ne veux plus avoir la même vie qu’aujourd’hui, à voyager sans cesse, n'être quasiment jamais à la maison. Sans compter qu'il faut prendre en charge l’équipe... Donc non, je ne veux pas être coach."