Zinedine Zidane s'est présenté en conférence de presse à Valdebebas ce mardi pour évoquer la rencontre à venir entre le Real Madrid et Osasuna (demain, 21h).
Continuer comme face à Séville : "Nous devons nous battre à chaque match et jouer en équipe, de la première à la dernière minute. Aucun match n'est facile. Nous devons suivre cette ligne."
Mendy, encore une blessure : "Je ne suis pas préoccupé, mais oui ça me dérange beaucoup. C'est un aspect du football que nous ne contrôlons pas très bien. Nous prenons bien soin de nos joueurs, des personnes très compétentes travaillent ici, mais ça ne dépend pas que de ça. Il faut l’accepter. J'espère que ce n'est rien de très grave pour Mendy."
The Best pour Messi : "Je n'ai même pas regardé. C'est le choix de ceux qui ont voté."
Doutes sur son travail : "Ça a toujours été comme ça et ça va continuer. Demain, nous jouons et c'est le plus important. Ce qui est arrivé est arrivé. Nous devons nous concentrer sur le match de demain, avec la même envie et la même intensité."
Dupont, le nouveau préparateur physique, a-t-il changé quelque chose ? "La préparation n’a pas changé tant que ça. Ce sont des gens très compétents, très professionnels, qui ont fait beaucoup de choses avant. Je crois en ceux avec qui je travaille."
Prix FIFA pour les joueurs du Real : "Je suis content des prix pour mes joueurs, mais je n'ai pas à vous dire s'ils le méritent ou non. Ils peuvent passer par des moments difficiles, mais s'ils sont bons, ils sont bons."
Se sent-il critiqué à tort ? "Non, c'est comme ça. Quand on perd je suis viré et quand on gagne je suis maintenu. C'est toujours comme ça."
Osasuna : "Ce n'est pas que je m'inquiète pour Osasuna, mais c'est une autre très bonne équipe qui n'a pas perdu cette saison et qui est en confiance. C'est une équipe très intense. Nous savons contre qui nous jouons et je ne suis pas surpris. En général dans cette Liga toutes les équipes sont très bonnes."
Comment il se sent personnellement : "Je me sens en forme, comme toujours. J'essaie de me donner à 100%, comme je le faisais en tant que joueur. J'essaie de faire de mon mieux."
Implication de Bale : "Il est impliqué, comme tout le monde. Il a envie de bien faire. Il sait qu'il nous apporte beaucoup en attaque et, comme l'autre jour, en défense. Ça montre que lorsque tout le monde est impliqué nous pouvons réussir de bonnes choses."
Isco, Modric, Marcelo : "Tout le monde va mieux. Les trois sont sur le point de rejoindre l'équipe, mais je ne peux pas vous dire comment nous allons gérer ça pour le moment."
Mendy et le match de demain : "Le match de demain est très important car nous devons répéter le match de Séville. C’est une équipe en confiante et nous devrons faire un grand match pour prendre les trois points. Mendy était bien et heureux d’être ici et ça m'embête de le voir blessé. Mais il y a encore beaucoup de matchs. Patience, tranquillité et récupération."
James Rodriguez : "Les bons joueurs sont bons, comme je l'ai déjà dit. Et James est l'un des nôtres, nous sommes 25 et tout le monde veut apporter à l'équipe."
Gestion de Rodrygo : "C'est un joueur de l'équipe première. En interne nous savons ce que nous faisons avec lui. Ensuite, ce sont mes décisions. Il dépend de l'équipe première. Nous sommes très contents de lui, et lui est content d'être là. Lorsqu'il jouera avec le Castilla, il le fera avec plaisir. Il aime jouer, mais c'est ma décision."
Prendre soin de Benzema : "Comme de le monde. Nous verrons ce que nous allons faire avec Karim, mais l'important est le match de demain."
Différences PSG - Séville : "On dit que nous avons fait un mauvais match à Paris parce que nous avons perdu 3-0, mais notre début de match était bon, ensuite on a concédé deux buts et c'est devenu compliqué. À Séville, il y a eu aussi des moments compliqués. À chaque match on doit jouer 90 minutes, se procurer des occasions avec le ballon et être solidaires sans. Il faut réussir à faire ça à chaque match."
Explications aux blessures : "Il y a un peu de tout... il faut jouer tous les trois jours, ensuite il y a les sélections, ils ne se reposent jamais. À mon époque, on jouait 40 matchs et maintenant 66. Et ça va encore changer et on atteindra les 70. Les gens ont critiqué les jours de repos, mais il y a une planification préalable. Les joueurs ne sont pas des machines."