Le latéral droit du Real Madrid Dani Carvajal a accordé une interview à Onda Cero dans l'émission 'El Transistor' ce mardi soir. Extraits.
Club et sélection : "C'est pareil et différent. La routine en club est différente, avec l'équipe nationale les concentrations sont plus intenses. Mais au niveau de la motivation c'est la même chose. En club, à moins d'un voyage, on s'entraîne et tout le monde rentre chez soi ensuite."
Interviews uniquement avec l'Espagne : "Il faut poser la question à notre service de presse. Ils essaient de nous protéger autant que possible et que l'attention ne soit pas détournée vers l'extra-sportif."
Un meilleur Real Madrid : "Nous sommes meilleurs et quand le vent vous est favorable, tout est tout de suite plus facile. Quand ça ne va pas bien, il faut faire face."
Match à EIbar : "Ce sont des moments, des séries. L'équipe est beaucoup plus fiable et plus solidaire, dans les deux côtés du terrain. Nous savions que ce serait un déplacement compliqué et nous sommes bien entrés dans le match. Dans le football d’aujourd’hui, ça compte beaucoup de jouer à domicile ou à l'extérieur, d'aller sur des terrains comme ceux d'Eibar, Majorque ou Osasuna."
Point d'inflexion : "Sur le plan collectif, le match à Majorque nous a beaucoup marqués."
Match à Istanbul : "Nous savions que le match était assez critique et que l'entraîneur était menacé. De plus, si nous ne gagnions pas, nous aurions moins de choix pour passer au second tour."
Odriozola en difficulté : "Arbeloa, Danilo, Achraf ... ce sont tous des partenaires et à la fin, vous ne pouvez pas être heureux parce qu'ils font un mauvais match. Nous sommes ici pour nous soutenir."
Auto-critique : "Oui, je suis assez critique, avant même encore plus, je ne me pardonnais pas mes erreurs et ça me conditionnait pour le reste du match. Maintenant je comprends que l'erreur est humaine, même s'il faut tout de même l'analyser."
Trois LDC d'affilée : "Comme ça les gens se rendent compte et valorisent à quel point il est difficile de gagner la Champions League. Ce n'est pas facile, mais nous travaillons toujours pour tout gagner. Au final la Ligue des champions nous a un peu sauvé la saison, mais ce n'est pas simple."
Poids dans le vestiaire : "Avec le temps, vous prenez du gallon, vous avez plus de poids dans l'équipe et vous faites partie des vétérans."
Capitaine à l'avenir ? : "Je l'espère parce que ce club fait partie de ma vie au quotidien."
Clasico reporté : "C'est un problème de sécurité au finale. Si ces soucis sont surmontés grâce au report, parfait."
Situation de Gareth Bale : "Les délais prévus étaient qu'il reprenne l'entraînement cette semaine en club, ça a coïncidé avec son départ en sélection. Mais le club ne peut pas lui interdire d'aller en sélection. C'est un garçon timide. Nous jouons les uns à côté des autres et c'est pourquoi nous devons bien communiquer. Nous parlons aussi ensemble de ses enfants, de choses plus personnelles..."
Bale et les médias : "Tout ce que fait Bale est multiplié par mille. Mais ce qui compte ici, c'est qu'il donne le maximum quand il joue et qu'il s'entraîne avec nous."