Le joueur espagnol Joselu Mato s'est présenté en salle de presse et a analysé le match contre la Croatie. L'attaquant n'a pas souhaité s'exprimer sur son avenir.
L'Espagne s'est qualifiée pour la finale de la Ligue des Nations après une courte victoire 2-1 sur l’Italie hier soir. Joselu a été le héros du match en inscrivant un but à la 88e minute. L'attaquant s'est présenté en salle de presse et a analysé la finale contre la Croatie qui se tiendra dimanche prochain.
"Ce n'est pas facile d'entrer en jeu dans les dernières minutes, mais je savais que nous produisions beaucoup et que le ballon pouvait arriver sur moi. Après le tir de Rodri, j'étais convaincu que je n'étais pas hors-jeu", a-t-il déclaré à propos de son but. "Nous sommes heureux de pouvoir jouer une finale", a-t-il admis.
Joselu a également souligné le soutien inconditionnel de sa famille : "Ils sont tout pour moi. Quand les choses vont bien, beaucoup de gens sont toujours là pour vous. Dans les moments difficiles, il n'y a qu'eux. La vérité, c'est que je peux profiter avec eux, avec mes enfants.... Mon fils aîné voulait sauter sur le terrain. Ce sont des moments uniques".
A propos de ses 3 buts en 3 matchs avec la Roja, chaque fois en jouant les dernières minutes du match : "J'aime être ici. Nous sommes 25 joueurs. Je suis entouré des meilleurs et nous venons ici pour créer un groupe. C’est l’entraîneur qui décide qui joue. Nous sommes tous importants".
MERCATO
Le Real Madrid est en train de tout finaliser pour que la venue de Joselu soit bouclée la semaine prochaine.
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Et concernant son avenir et une éventuelle arrivée à Madrid : "Oui, je pense que je peux être une référence en tant que joueur. J'ai joué dans les trois meilleurs championnats du monde et j'ai pris du plaisir à jouer dans chacun d'entre eux. C'est vrai que la Liga s'adapte beaucoup à mon jeu. En fin de compte, l'âge n'est qu'un chiffre. En ce qui concerne les rumeurs, je veux me concentrer sur ici, nous en parlerons quand le séjour sera terminé. À partir de lundi, après la finale. Nous verrons ce qui se passera".
"Qui n'est pas libéré par le fait de jouer une finale ? Nous jouions contre l'Italie. Ce n'est pas facile d'arriver ici. L'entraîneur fait du bon travail. Contre l'Écosse, nous avons été condamnés par quelques erreurs. Hier, nous avons dominé et la victoire vous libère", a-t-il poursuivi.
Sur sa relation avec Morata : "Elle est très bonne. J'ai toujours eu une bonne relation avec lui. J'ai joué avec lui au Castilla, en Angleterre... Nous nous parlons beaucoup. Je l'apprécie beaucoup. C'est l'un des capitaines".
