Antonio Rüdiger a accordé une interview à Canal+ Afrique dans laquelle il raconte plusieurs moments clés de sa carrière qui l'ont finalement conduit à rejoindre le Real Madrid.
L'un d'entre eux est une lettre que lui a adressé Florentino Perez lui-même en 2016 pour lui souhaiter un prompt rétablissement après une blessure. Le second, le jour où il a remporté la Ligue des champions avec Chelsea, parce qu'il a compris à ce moment-là qu'il était prêt à faire le grand saut vers le Bernabéu. Il révèle également les raisons qui l'ont poussé à décliner la proposition du PSG.
Le jour où il s'est vu prêt à jouer pour Madrid : "Vous savez quand j'ai vraiment réalisé que je pouvais aller au Real ? Quand j'ai gagné la Ligue des champions avec Chelsea, j'ai su que je pouvais y aller. C'est à ce moment-là que j'ai compris que j'étais prêt à signer à Madrid. Si vous voulez être du côté des vainqueurs, vous devez aller au Real Madrid."
Le non au PSG : "Il y a eu des rumeurs, on m'envoyait beaucoup de messages, mais je me suis dit : ce n'est pas ce que je cherche. Je n'ai rien contre le PSG, c'est un grand club, c'est un beau club, avec tout ce qu'il faut. Mais à côté, il y a le Real Madrid.... le Real Madrid ! On le voit d'abord avec la présentation. Avec tout le respect que je dois à tous les autres clubs, mais là, vous voyez la différence. Regardez la présentation de Cristiano Ronaldo ou de Benzema. La salle des trophées, l'histoire dans cette salle…"
Rudiger: “…en realidad no tengo nada en contra del PSG, creo que es un gran club, todo esta bien, pero comparado con el Real madrid, (silencio) el REAL MADRID”…(risa irónica)pic.twitter.com/ZQWeiCGM11
— il Mourinhø Blanco (@musicoloko7) April 22, 2023
La lettre de Florentino : "J'ai reçu une lettre de Florentino Pérez en 2016, quand j'ai eu une grosse blessure. Je l'avais tous les jours sous les yeux et je me demandais : 'Un homme comme moi ? Avant cette lettre, le Real Madrid me semblait très loin. Avec la lettre, je me suis dit "un jour, j'y arriverai, un jour, je jouerai là-bas". Il me souhaitait un bon rétablissement... Je n'arrivais pas à y croire. Ma mère l'a gardée."