Santiago Solari s'est présenté en conférence de presse, ce lundi soir à Rome. L'Argentin souhaite voir son équipe rebondir dès demain après la claque reçue à Eibar.
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Faire face à la Roma : "On doit faire un match comme toujours en Champions, être à la hauteur de notre histoire dans cette compétition. Cela peut sembler facile, mais ça ne l'est pas."
Sergio Ramos a dit que l'attitude n'était pas bonne face à Eibar : "Il y a des choses qui n'appartiennent qu'à l'intimité de l'équipe."
Après la défaite à Eibar... "Ce fut dur, mais c'est passé. On a analysé le match et on va essayer d'améliorer ce qu'il y a à améliorer. On doit penser au prochain match."
Une épreuve du feu : "Tout est une épreuve du feu ici, tous les jours. Le Real Madrid a passé de nombreuses épreuves du feu tout au long de son histoire mais il s'est toujours repris. C'est pour cela que c'est l'équipe la plus titrée de l'histoire."
Le temps de jeu réduit d'Isco : "Il travaille bien, comme ses coéquipiers. Je compte sur lui comme je compte sur les 23 autres."
L'absence de Casemiro : "Chaque match est différent. Plusieurs joueurs différents pourraient le remplacer, des centraux également. Ceballos peut jouer à ce poste même si, évidemment, il a été meilleur contre le Celta que contre Eibar. Mais la partie a été différente. Llorente peut jouer à la place de Casemiro et il est celui qui s'en rapproche de plus, Kroos, Valverde aussi..."
Sergio Ramos et les accusations de dopage : "C'est un homme honnête et c'est l'emblème du Real Madrid, du football et du sport. C'est de notre devoir de le protéger, et des journalistes aussi. La vérité ne peut pas être débattue et d'autant plus quand elle souille l'honneur d'une personne."
Oublier le match d'Eibar : "La réalité est toujours celle de demain. C'est celle qui est à notre portée, même si on garde en mémoire le dernier match."
L'attitude : "Il y a tant de facteurs dans le football... Tout n'a pas à voir avec l'attitude, mais la responsabilité incombe toujours à l'individu, que ce soit dans le football ou la vie. La responsabilité dans un collectif ne sert à rien. On peut dire que tout le monde défend, mais si trois joueurs ne le font pas, tu ne peux battre personne."
Ses souvenirs en Italie : "Les meilleurs souvenirs de ma vie sont en Italie. J'ai passé 3 années merveilleuses à l'Inter. Ce fut une période spéciale dans ma carrière et je me rappelle avoir marqué un but contre la Lazio. Les fans n'arrêtent jamais de chanter ici."