L'entraîneur du Celta explique la défaite 4-0 au Bernabeu par la puissance du Real Madrid et affirme que "les trois derniers buts étaient évitables".
Avec un discours aussi pauvre que l'image montrée par son équipe, Rafa Benítez a souligné la supériorité du Real Madrid et la déconnexion de ses joueurs comme les causes de la raclée 4-0 subie par le Celta au Santiago Bernabéu.
Comment explique-t-il la défaite 4-0 ? "Parce qu’on a joué contre l'équipe qui est le leader et la meilleure de la Liga. La réalité, c'est qu'à la 79e minute, vous perdez 1-0 et à la fin du match 4-0 avec trois buts qui auraient pu être évités."
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— LALIGA (@LaLigaFRA) March 10, 2024
Le Celta, plus offensif en seconde période : "Nous avons essayé d'équilibrer le match. Dans ce type de match, si vous arrivez à la fin avec un résultat de 1-0, comme ce fut le cas, vous vous dites que nous sommes dans une position où nous pouvions faire match nul, nous pouvions surprendre. J'insiste, à la 79e minute, nous menions 1-0, que nous l'ayons mérité ou non est relatif. Ce qu'il faut faire, c'est s'assurer de ne pas en concéder un autre ou, dans le cas présent, trois autres. C'est ce que nous devons apprendre et c'est difficile pour nous."
Où son équipe s'est-elle trompée dans les dernières minutes : "C'est très facile. Ils ont marqué un but sur un corner, ce qui était évitable, et deux autres sur deux erreurs, un but contre notre camp et un coup franc qu'ils ont exécuté rapidement alors que nous n'étions pas attentifs."
Comment se porte le vestiaire : "Nous sommes toujours dans la position où nous étions, hors de la relégation, et nous dépendons toujours de nous-mêmes. Donc, nous sommes blessés par la défaite, mais nous essayons de récupérer maintenant pour penser aux prochains matchs."
Avez-vous l'impression que le Real a baissé de niveau depuis quelques matchs : "Nous avons eu quelques bonnes sorties de balles, ce que nous espérions parce qu’on savait qu'ils allaient nous presser. Nous avons eu quelques actions où nous n'avons pas réussi à faire la dernière passe et dans certains cas nous avons atteint la zone de finition, mais nous n'avons pas fait de dégâts."
