La juge d'instruction de l'affaire de la sextape a refusé de lever le contrôle judiciaire l'empêchant d'entrer en contact avec Mathieu Valbuena et donc de rejouer ensemble en EDF.
Le Parisien a une nouvelle fois révélé le contenu de la dernière audition en date du madrilène. Benzema avoue avoir menti à Valbuena sur certains points, mais minimise son implication dans l'affaire et se dit victime d'acharnement :
« Une tentative de chantage ? Non, parce que, franchement, on n'a besoin de rien, ni moi ni lui (Zenati). C'est juste amical. Le quelque chose derrière, il n'y en a pas. Pour moi, à la base, y avait aucune histoire d'argent. Je vais pas le répéter vingt fois, pour moi, l'argent, j'en ai, Dieu merci. »
« J'aurais dû dire à Valbuena que je ne l'avais pas vue (la vidéo). Mais j'ai fait le malin, j'ai fait l'acteur, sur ce coup-là. Tout simplement. C'est comme quand on décrit un film et qu'on ne l'a pas vu. Je ne l'ai jamais vue, cette vidéo. »
« Je suis énervé, franchement, grave énervé par rapport à tout ce qui est sorti, dans la presse. On m'a sali, par rapport à ma famille, me voir sur toutes les chaînes, pour rien du tout. Comme si j'étais un terroriste. Ce n'est même plus l'affaire de la sex-tape de Valbuena, c'est l'affaire Benzema. Je suis comme un fou, je suis dégoûté. Heureusement que j'ai un bon mental, je résiste à tout ça, mais franchement c'est un truc de fou. Mes neveux et nièces qui vont à l'école se font insulter. Je reçois des lettres de menace chez moi. Ça, je m'en fous. C'est plus la souffrance de mes parents, ça fait mal quand tu vois ton père et ta mère qui pleurent. »