Marcelo s'est présenté en conférence de presse ce mardi, à la veille de la réception de Galatasaray, pour le compte de la 4e journée de Ligue des Champions.
100 matchs en Europe : "C'est une joie de pouvoir disputer autant de matchs dans le plus grand club du monde. J'ai appris beaucoup de choses depuis que je suis arrivé ici et c'est une fierté et une immense responsabilité. Je suis très content. J'espère que ce sera un grand match demain."
Ses mots sur Valdano : "Mes affaires sont mes affaires. Je suis très prudent sur ces choses-là. Que tu le veuilles ou non, certaines choses blessent les joueurs et les entraîneurs... et je crois que, parfois, c'est un manque de respect. J'ai toujours la prudence de ne pas mentionner les gens et je ne le fait pas par respect. Je ne retirerai pas ce que j'ai dit. J'ai été très clair sur le fait que certaines choses peuvent blesser, elles peuvent aussi être source de motivation. Une critique peut te motiver beaucoup plus."
Le match de demain : "Nous savons que ce sera un match très dur. Nous devons entrer sur le terrain pour gagner. Nous avons envie de jouer ce match. Nous sommes motivés, ça va être dur mais on aime ce type de matchs."
Si c'est une finale : "Je pense que oui. Les matchs comme cela sont les meilleurs qu'un joueur peut penser jouer. Nous devons gagner pour essayer de faire un pas en avant et pour penser à nous qualifier."
Son rôle de remplaçant la saison passée : "Je ne me vois pas comme un remplaçant. Je n'ai pas joué beaucoup de match mais si tu fais les comptes, j'ai joué plus que d'autres. Je me trouve meilleur que l'année dernière, j'ai travaillé pour cela. Je ne me suis jamais considéré comme titulaire, ni comme un remplaçant. Pour gagner des titres, tu ne peux pas penser comme cela, je suis un de plus dans l'effectif."
Pas plus de motivation en LDC qu'en Liga : "Cela dépend aussi des matchs. Nous avons gagné quatre Champions en cinq ans. Je suis ici depuis 13 ans et nous n'avons pas assez gagné [de Liga], nous en avons peu gagné. Défendre l'écusson du Real Madrid est quelque chose que tous les enfants veulent faire. Ce sont deux compétitions différentes et personnellement, je suis motivé par les deux."
La pression à Madrid : "C'était plus dur au début. Il y a toujours de la pression, c'est le prix à payer pour jouer dans le meilleur club du monde. Tu dois faire face à beaucoup de responsabilité car tu travailles pour le meilleur club du monde. Mais la pression n'est pas présente que dans le football. Tu peux avoir de l'anxiété dans n'importe quel travail et en racontant cette histoire, je voulais dire à mes fans que nous sommes comme eux, nous avons des problèmes dans notre vie personnelle et au travail."