Zinédine Zidane s’est présenté en conférence de presse avec Luka Modric à la veille du choc face à l’Inter Milan.
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La forme de son équipe : "Je crois que nous allons bien, physiquement et moralement. Nous sommes prêts."
Ce que Mariano peut apporter : "Il l’a montré l’autre jour [contre Villarreal]. Il a tout donné sur le terrain et nous en sommes très contents."
Comment expliquer la Ramos dépendance : "On sait à quel point il est important pour nous et les séries [ndlr : 7 défaites lors des 8 derniers matchs sans Ramos] sont faites pour être brisées. Tout le monde ici va essayer de changer la donne. C’est une finale demain, on le sait."
S’il s’estime meilleur qu’il y a 4 ans, lors de sa première finale de C1 à San Siro : "Ce sont des années d’expérience. Je n’ai rien changé à qui je suis. Je veux continuer à profiter de mon métier et c’est le plus important pour moi."
Un Real plus fragile : "L’analyse que j’en fais, c’est que ça fait partie du football. Il y a des moments où tu es très fort et parfois c’est un peu plus compliqué. C’est ce que l’on traverse actuellement, mais nous ne sommes pas les seuls. Toutes les équipes ont des moments compliqués surtout dans cette saison un peu particulière."
Les hauts et bas en cours de match : "Je ne crois pas que ce fut le cas lors du match aller. On a rencontré des difficultés en cours de match, ce qui est normal quand tu affrontes une très bonne équipe. L’équipe a bien commencé et a bien terminé le match. Contre Villarreal, ce fut un peu pareil... Je ne suis pas fataliste, je dis seulement que ça fait partie du football. On travaille pour s’améliorer défensivement et pour marquer plus de buts."
S’il pense que le calendrier est responsable des blessures : "Je ne sais pas mais de toute façon il faut faire avec. J’insiste sur ce que j’ai dit l’autre jour, on dispute beaucoup de matchs et nous avons un début de saison sans préparation. Je ne cherche pas des excuses mais il arrive un moment où tu peux penser qu’en disputant beaucoup de matchs, il y a beaucoup de blessures et le spectacle n’est pas le même. Chacun voit les choses à sa manière."
S’il signe pour un nul demain : "Non, on veut toujours gagner, il ne faut pas penser au nul. On ne sait pas ce qui va se passer demain mais nous devons entrer sur le terrain pour gagner."
Son souvenir avec Conte : "C’était mon capitaine. Il entraîne comme il jouait, c’est un leader. Je n’ai pas grand chose à dire de plus."
Isco veut partir : "Je ne vais pas parler de ça. C’est un de nos joueurs et nous sommes contents avec lui."