Lors du pénalty accordé au Real Madrid pour une faute de Mario Martín sur Bellingham, ce dernier a tenté de faire pression sur l’arbitre.
Le Real Madrid s’est imposé 3-0 face à Valladolid ce samedi, avec notamment un pénalty accordé aux Merengues en fin de rencontre. L’attitude de Jude Bellingham sur la faute en question a fortement irrité les journalistes de la Cadena Cope.
Alors que les hommes d’Ancelotti filaient droit vers la victoire, avec en poche un doublé de Kylian Mbappé, le jeune Mario Martín a commis une faute sur Jude Bellingham dans la surface à la 89’, que l'arbitre a sanctionné d'un carton jaune, ce qui a conduit à l'expulsion du joueur de Valladolid.
Une action qui a fait débat lors de l'émission Tiempo de Juego sur la SER. "Il a eu la malchance, après avoir frappé le ballon, de soulever ses crampons et de se les planter dans le mollet", a d’abord expliqué Paco González.
Un pénalty clair
Poli Rincón, quant à lui, estime que l’expulsion du joueur formé au Real Madrid est méritée :" Regardez l'action, il n'y a pas de doute. Je vous ai dit que ça méritait un carton rouge avant même que le VAR n'arrête le match. Ce n'est pas un tacle normal".
🚨⚽️😡 POLÉMIQUE à Valladolid !
➡️ Victoire 3-0 du Real MAIS… Bellingham accusé d’avoir « forcé » l’expulsion de Mario Martín (2e jaune 90+4′) !
➡️ Paco González (TdJ) : « Très moche… Il savait qu’il le faisait sortir » 🗣️
➡️ 3 points en or… mais image ternie ? Débat ! pic.twitter.com/lPgJ54xX7F— Foot Espagnol (@FootEspagnolOrg) January 26, 2025
"Je pense que le gamin est tellement pressé... Il lance tout et à la fin il lève le pied, mais je ne pense pas qu'il ait voulu faire mal", rétorque Paco González. Mais ce qui a surtout choqué le plateau, c’est le geste de Jude Bellingham, demandant le carton rouge pour l’ancien canterano.
"Qu’est-ce que ça peut faire à Bellingham que Mario Martín soit expulsé ? Il ne peut pas faire ça. C'est un joueur qui a fait la pré-saison avec lui et qui est dernier de la Liga…", s’est agacé Paco González, avant que le journaliste Juan Carlos Amón n’ajoute : "C’est très moche, vraiment très moche ce que Bellingham a fait".