Isco Alarcón a accompagné son entraineur en conférence de presse aujourd'hui avant le match de Ligue des Champions face au Viktoria Plzen.
Changement de banc : "Nous sommes tranquilles et conscients de la responsabilité de devoir changer la situation. Nous sommes les premiers à être énervés quand nous ne gagnons pas. La responsabilité ne revient pas qu'à l'entraîneur, car les buts ce sont nous qui devons les mettre. On peut renverser la situation et nous allons le faire."
Lopetegui discuté : "Je ne pense pas que la presse ait le pouvoir de renvoyer un entraîneur. La controverse que vous cherchez à créer n'existe pas. Nous croyons en ce que nous pouvons faire, nous sommes très calmes et nous avons pleinement confiance en l’entraîneur. Il peut se passer un million de choses à partir de là, mais moi je crois en cette équipe "
Sortir de la crise : "Ça dépend de nous et du staff technique de sortir de ça. Nous sommes conscients de ce que nous avons à faire."
Une folie de changer de coach ? "Oui, ce serait fou, il faut le laisser travailler. Car sinon il faudrait tous nous renvoyer, pas seulement l'entraîneur. Je suis convaincu qu'ensemble nous pouvons faire une année magnifique."
Le vestiaire : "Nous sommes préoccupés parce que nous n'obtenons pas les résultats souhaités, nous devons rechercher cet équilibre qui nous coûte les matches."
Point d'inflexion : "J'espère que le match de demain sera un tournant et qu'avec la confiance que ce match va générer nous pourrons changer la dynamique."
Une dette envers Julen : "Il est vrai qu’il m’a fait confiance en équipe nationale, mais je le lui ai rendu. Ce n'est pas quelque chose qui ne concerne que moi, mais plutôt toute l'équipe en général."
Cristiano manque à l'équipe : "Cette question vous nous l'avez tous posée. Moi ce sont Carvajal, Bale qui me manquent... Nous ne pouvons pas chercher la solution en dehors de ce club, mais en dedans car il y en a beaucoup, et de très bonnes. On ne va pas pleurer pour quelqu'un qui n'a pas voulu être ici."
Mauvais résultats : "Ce n’est pas facile d'encaisser cette mauvaise passe, mais nous avons toujours su refaire surface et nous avons toujours été critiqués. Nous avons remporté quatre Champions League ces dernières années, et beaucoup aiment nous voir dans cette situation. Mais il ne faut jamais nous donner pour morts."