Le joueur de Chelsea, Marcos Alonso, a parlé depuis la concentration avec la sélection espagnole du match qui attend son club face au Real Madrid en Ligue des Champions.
Comment ça se passe à Chelsea avec les sanctions pour Abramovitch, et est-il vrai qu'ils doivent payer leurs déplacements ?
Non, pour le moment, rien ne s'est vraiment passé. Il y a eu beaucoup de discussions, il semble qu'ils vont forcer la vente du club. Nous ne pouvons pas contrôler cela et nous devons être là où nous devons être et nous l'avons montré lors des derniers matchs avec six victoires consécutives, c'est ce que nous pouvons faire de mieux et nous espérons que le reste sera réglé dès que possible.
La situation peut-elle vous affecter sur le plan sportif ?
Pas jusqu'à présent. Je pense que ce sera bientôt résolu, il semblerait que ça le sera avec la vente du club. Nous ne sommes pas très au fait de tout ça et rien n'a changé au quotidien.
Avez-vous été surpris par ce que le Real a fait contre le PSG ?
Je savais avant le match que Madrid était une équipe très dangereuse. Même si le PSG a été supérieur pendant une grande partie du match, on ne peut jamais laisser Madrid pour mort. Bien sûr, c’est toujours difficile d'affronter le Real Madrid à tout moment et surtout dans une compétition comme la Ligue des champions.
C'est donc au tour de Chelsea ! Comment voyez-vous cette double confrontation ?
Nous avons montré l'année dernière ce dont nous sommes capables. C'est une année différente, un moment différent, mais deux grandes équipes s’affrontent et nous allons essayer de tout donner pour atteindre les demi-finales.
Qui est le favori ?
Je ne pense pas qu'il y ait de favori. A ce stade, n'importe quelle équipe est compliquée à jouer et ce sera un beau et difficile match à coup sûr.
Donc c'est du 50-50 ?
Laissons les choses à 50-50, avec une chance sur deux pour chaque équipe.
Pourquoi Chelsea a-t-il été champion d'Europe la saison dernière ?
Nous étions une équipe très équilibrée. Dans ces confrontations si serrées étroits, ce sont les petits détails qui font la différence. Nous étions une équipe dans tous les sens du terme. Nous avons très bien défendu, nous étions une équipe inconfortable à jouer, nous avons défendu à onze. À ce stade de la Ligue des champions, tout est très équilibré et ça se joue sur de tous petits détails.