En place depuis 2015, l'entraîneur d'Eibar, José Luis Mendilibar s'est présenté en conférence de presse avant d'affronter le Real Madrid.
📋 Eibar - Real
Madrid : l'avant match
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L'idée de Casillas pour améliorer le VAR
Un match particulier : "Il y a toujours plus d'attente, plus d'engouement et les gens viennent tous au stade. C'est une semaine comme les autres pour nous, nous avons envie de jouer le match."
Un Real Madrid aux deux visages : "Quand les grandes équipes perdent plus qu'habituellement, vous dites que le championnat est moins bon. On ne parle jamais des succès des adversaires et cela ne va pas changer parce que les journalistes sont comme ça. Pour nous, c'est parce que nous nous sommes améliorés. Ils ont moins de points que les dernières années et ils ne jouent pas le même match d'une équipe à l'autre."
Le plan du match : "Nous allons essayons d'être l'équipe que nous sommes toujours. Nous devons jouer avec sérieux et bien commencer le match, car s'ils imposent leur rythme dès le début, nous pouvons nous retrouver dans la même situation que Galatasaray mercredi. Ce sont de grands joueurs et quand ils sont en forme, c'est toujours difficile."
Jouer sans complexe : "Pour prendre des points contre le Real Madrid, vous devez perdre le respect et la peur. Tu peux quand même perdre quoi qu'il arrive s'ils font un grand match et c'est très difficile de jouer contre ces gens là. Nous sommes chez nous et nous devons faire un match dur pour les mettre en difficulté."
Le 3-0 de l'an dernier : "C'est de l'histoire ancienne. Je ne regarde pas l'historique des années précédentes. Bien que ce soit les mêmes équipes, ce sera toujours un match différent. Dans ce cas-là, les deux équipes ont de nouveaux joueurs. La victoire de la saison passée va être très difficile à réitérer. On n'a pas revu les images du match, car chaque match est un nouveau monde."
Rodrygo Goes : "Les meilleurs joueurs de 18 ans sont à Madrid. Ils apprennent ensuite des meilleurs joueurs du monde. Il y en a qui sont à Madrid, qui partent puis reviennent... Rodrygo en est là parce qu'il a fait de très bonnes choses et il a besoin d'avoir de la continuité, que, je suis sûr, il aura."