Le Real disputait ce soir le 8e de finale retour de Ligue des Champions face au Napoli . Voici les notes des joueurs madrilènes attribuées par notre rédaction.
Navas : 5 – Le portier madrilène est terriblement fébrile et n'inspire clairement plus confiance.
Carvajal : 6,5 – Bon match de Carvajal qui a tenu bon sur son côté droit malgré de nombreuses offensives italiennes. Quelques montées intéressantes en seconde période.
Pepe : 7,5 – Match très solide du portugais qui a été impérial dans les duels. Il revient comme s'il n'avait jamais été blessé et le Real en avait grandement besoin après la perte de Varane.
⭐️ Ramos : 9 – Homme du match. En bon leader, le merengue a une nouvelle été décisif tout en restant très sérieux défensivement.
Marcelo : 6 – Le brésilien a été moins en vue que d'habitude, la faute a un bloc très bas et privé de ballon en première période.
Casemiro : 6 – Prestation moyenne du tank, totalement dépassé en première période. Il a été moins présent à la récupération et affiche ses limites techniques à la relance.
Kroos : 6,5 – Du bon et du moins bon pour Toni Kroos. Malgré ses deux passes décisives sur les buts de Sergio Ramos, l'allemand a pris l'eau comme ses camarades du milieu en première période.
Modric : 6 – Pas du grand Luka Modric au San Paolo. Il n'a pas su avoir assez d'influence en première période. Ce fut évidemment mieux en seconde partie de match.
Bale : 5,5 – Il a été le madrilène le plus actif en première période mais ses replis défensifs trop ponctuels ont fragilisé le côté droit de Carvajal qui a été énormément sollicité.
Benzema : 5 – Le français est clairement mal utilisé et cela rend sa copie bien moins bonne. On ne s'appuie pas sur ses qualités. Difficile pour lui de briller en ne recevant que des longs ballons.
Cristiano : 5 – Un poteau malheureux en première période et une percée en fin de match qui amène le but de Morata. C'est hélas trop peu. Son apport dans le jeu est insuffisant, tout comme ses efforts défensifs.
On a aimé : L'étoile Sergio Ramos.
On n’a pas aimé : La fébrilité de l'équipe lors des 45 premières minutes. Les madrilènes n'ont jamais su se sortir du pressing des italiens.